Pourquoi travailler en mémoire cellulaire ?

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• Problématiques familiales ou personnelles

• Manque de confiance en soi, mal-être

• Schémas répétitifs (je revis toujours les mêmes choses ou style de situation)

• Comportements aberrants (je sais que ce n’est pas sain pour moi mais je le fais quand même)

• Besoin d’un sens à sa vie

• Peurs irraisonnées

• Indécision

• Manque d'énergie

• Problèmes relationnels

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Exemple d’un schéma répétitif:

J’ai un problème de rapport au groupe, je me sens en danger, je m’isole, je me tais, je me sens jugé.

Le groupe représente la mère en symbolique. Chaque fois que je suis face au groupe, je suis face à la mère qui n’a pas su me protéger. Du coup, je me recroqueville sur moi-même pour me préserver du danger. Je juge ma mère de ne pas avoir su me protéger, j’ai donc peur du jugement, je me juge.

 

Exemple d’un comportement aberrant:

J’ai peur de manquer d’argent et de me retrouver sous les ponts. Pourtant, j’ai une bonne situation, je paye mes factures sans difficulté mais cette peur viscérale, irraisonnée me conduit à faire très attention à mes dépenses sauf pour la nourriture car mon réfrigérateur est plein par peur de « je ne sais quoi », à éviter de sortir pour ne pas dépenser, à ne pas changer de travail alors que celui-ci ne me convient pas, je m’isole, je souffre, je me sens coincé, je tourne en rond et je ne sais pas comment faire autrement.

Si on peut trouver l’origine de cette peur dans la vie de la personne, l’autre origine peut être liée à une mémoire de ses aïeux qui se sont retrouvés ruinés du jour au lendemain, sans un sou, à dormir sous les ponts. Ce comportement aberrant est lié à une nécessité d’appartenance, nous restons fidèles à ce que notre corps connait et à notre clan, nous avons une loyauté familiale. Les outils de la mémoire cellulaire vont aider à identifier et à désactiver ces comportements.

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Ce que les thérapeutes avaient expérimenté, les scientifiques, à travers l'épigénétique, le prouvent aujourd’hui : l’ADN est marqué sur plusieurs générations.

Je vous conseille de regarder ce court reportage: http://www.rts.ch/embed/FiTg

ou de lire cet article Les maltraitances de l’enfance laissent des cicatrices dans l’ADN

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Les bénéfices d'un travail en mémoire cellulaire

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